26 mars, Montagne Pelée

Ce jour-là, le but de la promenade était de visiter la côte caraïbe en passant par le centre de l'île. On voulait rejoindre Saint Pierre, l'ancienne capitale détruite par la Montagne Pelée et ensuite remonter vers le nord.


En route une petite aperçue des deux Pitons du Carbet. Comme toute haute montagne des Antilles, leur sommet est sous les nuages. J'ai regardé par curiosité le temps qu'il fallait pour y monter. 8 heures en tout. Bon, montagne suivante s'il vous plait !


Des fougères ! Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce sont des fougères... géantes ! Elles doivent faire plus de 8 mètres.


Un talus pris au bord de la route. Ce côté matelas m'a beaucoup plu. Et on ne dirait pas mais le sol est assez loin en dessous.


Après la pause méritée de midi, j'avais envie de monter à la Montagne Pelée, histoire de dire qu'on l'avait fait. Et malgré l'heure tardive (15h), nous voilà escaladant l'imposant volcan.


On voit ici au milieu de la photo le parking d'où l'on est parti. Ca grimpe assez fort mais il y a des marches sur toute la montée. A chaque marche il y a une planche de bois retenue par des pieux. Il y a aussi des rigoles pour empêcher l'eau de pluie de détruire les marches.


La Montagne Pelée sous les nuages. Le chemin suit la ligne de crête à droite et monte dans les nuages. J'ai laissé Sarah un peu plus loin jouer avec des escargots et je suis monté tout seul en courant (presque).


Les nuages sont partis, pour le moment. Là je suis en haut du chemin que l'on a vu la photo précédente monter dans les nuages. De là on peut voir d'un côté vers le bas où l'on doit voir Sarah si on regarde bien...


...et de l'autre on peut voir le premier cratère et le chemin de crête. Avec une belle fougère au premier plan.


Je longe toujours le premier cratère...


...jusqu'à un endroit appelé Morne La Croix. De là on peut y voir un sentier qui descend dans le cratère et qui remonte sur le premier sommet.


La montée fut rude. Il ne faut pas longtemps pour faire l'aller et retour, seulement à l'heure où on a commencé à grimper il ne nous restait pas beaucoup de temps. Et puis Sarah attendait depuis un bon moment déjà en bas. Alors une fois ma décision prise de monter au sommet j'ai gravi la pente le plus vite possible. Ce fut très rude et pénible. Mais une fois là haut j'ai pu avoir une vue, certes nuageuse, mais dégagée sur le nord.

Le retour par la côté caraïbe s'est fait dans le noir, donc pas de photos de Saint Pierre... Désolé !